Nous ne t abandonneront pas,
Promis tu resteras!

Nous mettrons une ancre à ton pied,
Comme ça, tu ne vas pas t'envoler!

T'inquiète pas, tu fais partie de la team,
Tu resteras chanter avec nous l'hymne!

Nous sommes sur de ta victoire,
Tu n'iras pas à l'abattoir!

Nous te tendons la main,
Prends là avant d'être trop loin!

Harybo chan

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pour si peux,

autant marcher sous la pluie sans but précis,
autant chanter sur un pont sans de grand défi.

autant fuir la vérité sans la connaître,
autant accueillir la liberté dans une prison sans fenêtre.

autant ne pas se connaître, et ne pas exister,
autant ne pas gravir, pour ne pas glisser.

autant oublier se souvenir pour ne pas être triste,
autant se faire la piqure de rappel que de mettre la douleur dans la liste.

et pourtant,
il y a peu de but précis,
mais il y a de grand défis,
de mensonges la vie est constituée,
alors il vaut mieux savoir la vérité,
pour revoir un jour sa propre liberté,
il y a tellement de souvenir triste,
qu'on se perd dans nos liste,
mais je préfère qu'on me tranche la gorge pour me rappeler la vie...

la vis c'est l'Everest, il y a des hauts et des bas, comme dans la vie, il y a les tempêtes et le soleil !

Harybo chan.

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Tu glissais sur la glace, je te suivais, nous sourions, et se regardions d'un air fougueux.

A chaque glissement, nous laissions une fine couche de neige et des fois, quelques flocons, formés par nos lames de patins, s'envolaient, créant un décor remplis de magie !

Les spectateur nous applaudissaient à chaque portée, nous nous tenions la main, tout en glissant, se regardant toujours.

Certaine fois, nous prennions le droit de s'embrasser, discrètement. Certains spectateur verront surment, sur une de leur photo, prise sans le vouloir, un de nos baisers...

Comme dans toute compétition, il y a les dangers, or, nous, nous semblions contourner le moindre probléme.

Malgré nos visages calmes et souriants devant les caméras, le stresse faisait le contre poids et la chute arriva.

Tu me pris par la taille, et le drame se produisit, la chute fut inévitable...

La glace était froide contre mon corps, j'avais mal au hanche, du mal à respirer... 

Tu pleurais, me carressant le dos.

Ce jour là les lumière s'éteignirent sur nous et les sirènes retentirent.

Harybo chan.

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